Bien que le
bilan de Chirac soit catastrophique à tous les niveaux ; Education,
Travail, Chômage, Précarité,Santé, Sécurité, Social, Retraites, Justice,
etc... et contrairement à Sarkozy, Chirac n'était ni raciste ni
fascite.
On peut se rendre compte que 30% de la populataion française cautionne
le racisme, fascisme, la destruction des services publics et considère que
le bilan de la majorité sortante est plus que correct. Quelle honte cette
France !
Ce bilan absolument catastrophique de l'UMP est validé par 30% des francais ! Mais dans quel
pays vivons nous ? J'ai du mal à croire que 30% des
français ont de la boue dans les yeux et refusent de voir cette
triste réalité.
J'espère qu'entre les deux tours certains vont prendre conscience que
le petit nabot de Nicolas Sarkozy est un homme vraiment
dangereux pour la France et ses institutions.
Il est à noter que les 31 % de Sarkozy sont la
somme du résultats de 2002 du premier tour et du transfert des voix du
Front National. La France tente un virage à l'extrême droite, cela peut
être très dangereux comme dans les années 30 d'un pays voisin. Il faut se
souvenir que Hitler avait gagné les élections dans un contexte sensiblement identique.
Des racistes et fascites ont voté pour LE premier
raciste et fasciste de France, Naboléon premier. Travaillez plus pour que les patrons gagnent plus. Continuez !
J'ai honte pour l'image donnée de cette France ! IL Y A UN
DANGER MAJEUR.L'UMP devient-elle un parti politique d'extrême droite ? Cela en a tout
l'air. Réagissez les "vrais UMP".
Alors qu'il fait presque 40° certains jours de ce mois d'Avril... Les
Verts ont fait à peine 2% !
Retour au classique
gauche-droite
MESKENS,JOELLE
dimanche 22 avril
2007, 23:02
La surprise c'est
qu'il n'y en a pas eu ! Sarkozy vire en tête, mais rien n'est joué. De
notre envoyée permanente à Paris, Joëlle Meskens.
Dix bonnes raisons de faire barrage à
Sarkozy
1. Nicolas Sarkozy, c'est
la précarité de l'emploi généralisée. Le candidat de l'UMP
veut "fluidifier" le marché de travail en instaurant un contrat unique
calqué sur le CNE /CPE. Avec lui, c'est la fin des CDI, la fragilisation
des droits des salariés et la précarisation généralisée de l'emploi. Il
l'a d'ailleurs reconnu : "Le CNE est un progrès, il ne faut pas y toucher
" (, 24 janvier 2007)
2. Nicolas
Sarkozy, c'est la remise en cause des acquis
sociaux. Dans son programme, le candidat
de l'UMP défend l'idée que les chômeurs devront dorénavant exercer une
activité pour pouvoir bénéficier d'allocations chômage ou le RMI. Voilà le
retour des travaux forcés !
3. Nicolas
Sarkozy, c'est l'instauration de la sélection à l'entrée de
l'université. Cherchant à mettre en
concurrence les universités publiques et privées, Nicolas Sarkozy veut
restreindre l'accès à l'université des bacheliers par la
sélection.
4. Nicolas Sarkozy, c'est le
développement de l'école privée au détriment du
public. Nicolas Sarkozy, en tant que
président du Conseil général des Hauts-de-Seine, continue à financer
largement la "fac PASQUA" avec des fonds publics. Dans la même logique, il
souhaite promouvoir les écoles privées et supprimer les Zones d'Education
Prioritaires qui permettent pourtant de donner plus de moyens aux
établissements des quartiers les plus défavorisés.
5. Nicolas Sarkozy, c'est la société des
héritiers. "Tout devient possible". pour
les plus riches ! En se prononçant pour la suppression des droits de
succession, Nicolas Sarkozy construit un système qui va reproduire,
génération après génération, les inégalités plutôt que de les réduire.
C'est la concentration des richesses dans les mains des
héritiers.
6. Nicolas Sarkozy, c'est la
fin de la sécurité sociale. En instaurant
une franchise pour les remboursements de soins et en favorisant le
développement du secteur privé, Nicolas Sarkozy met profondément à mal la
sécurité sociale et ouvre la voie à la privatisation totale du secteur de
la santé en France.
7. Nicolas Sarkozy,
c'est une France atlantiste. A plusieurs
reprises, le candidat de l'UMP s'est prononcé pour un rapprochement entre
la France et les Etats-Unis dont il est fasciné. Fustigeant "l'arrogance
française", Nicolas Sarkozy privilégie l'axe franco-américain à la
construction européenne.
8. Nicolas
Sarkozy, c'est le "tout répressif". Alors
que politique de lutte contre l'insécurité qu'il a mené depuis plusieurs
années, a eu des résultats désastreux, Nicolas Sarkozy compte poursuivre
le "tout répressif" en abaissant la majorité pénale de 18 à 16 ans et en
multipliant les mesures sécuritaires et inhumaines.
9. Nicolas Sarkozy, c'est la remise en cause des libertés
publiques. Au nom de la lutte contre
l'insécurité, le Ministre de l'Intérieur a déjà rogné de nombreux droits
fondamentaux et fragilisé le principe de séparation des pouvoirs en
stigmatisant les magistrats et les décisions de justice. Dans la même
logique, Nicolas Sarkozy remet, par exemple, en cause le droit de
grève.
10. Nicolas Sarkozy, c'est la
stigmatisation des plus précaires. Profondément populiste, le candidat de l'UMP cherche en permanence
des bouc-émissaires pour expliquer ses échecs. Dans son projet, il
s'attaque de nouveau aux plus démunis et aux immigrés. En limitant
l'immigration aux seuls besoins du marché, Nicolas Sarkozy réduit les
étrangers à une seule force de travail sans considération pour leur
équilibre social et familial.